Dimanche 5 octobre 2008 à 12:47


En tant que glandeuse professionnelle et arachnophobe invétérée,
j'ai 38h de cours par semaine et je cohabite avec une meute entière d'araignées.

Cherchez l'erreur.

Lundi 15 septembre 2008 à 21:11


C'est un peu comme si je rentrais de vacances. Vous savez, ce p'tit pincement au creux du bide parc'que c'était tout simplement génial, que les souvenirs se sont amoncelés en masse, et que j'ai vu plein de gens en si peu de temps. Mais non, je rentre juste de festoch. Juste. C'est là qu'on implantera notre future maison avec les morues. Au milieu d'un champ, avec de la musique à toute heure, de l'alcool à foison, et des gens de tous les côtés. Parc'qu'on y passerait le plus clair de notre temps si on pouvait. A dans un an bande de zoulous =B

 



Et dire que c'était le dernier avant peut-être le mois de juin, ça me frustre >.< (mordue de festivals bonjouur)

Lundi 8 septembre 2008 à 0:43


Je hais facebook. Je hais facebook et cette pétasse qui fut plus rapide que moi. Je hais toutes ces nénettes en couple qui se pavanent et toutes les autres qui arrivent toujours à leur fin. Je hais ces connards qui me laissent espérer pour mieux me faire tomber. Je me hais, moi, à toujours vouloir saisir l'insaisissable, je me hais à y croire, je me hais à me planter encore et toujours. Je me hais à toujours vouloir plus. Plus plus plus. Mais putain.

Dimanche 31 août 2008 à 13:39


C'était un peu un festoch de ouf ce Ska Potatoes (et les bénévoles c'était les meilleurs) et c'était aussi un peu un festoch qui marquait la fin d'une année. Mais putain pas n'importe laquelle. Alors voilà on va tous reprendre une vie plus ou moins normale, on va tous devoir se re lever tôt tous les matins, on va tous re avoir une vie relativement décente (enfin pas trop faut pas déconner non plus), pendant que tous ces bougres de bacheliers tout frais vont venir nous voler notre année sabbatique de malade, ça m'troue l'cul, y'a pas d'justice, parc'que des mois comme ça il en faudrait à foison, il faudrait que ça s'arrête jamais et qu'on ait toujours cette impression de vacances qui durent qui durent et qui perdurent, et qu'en plus c'est bien parc'que c'est eux et ça, ça, bigre <3

 

 

 

Lundi 18 août 2008 à 21:04


On s'imagine pas comme l'attente peut être longue. Et comme au contraire le temps peut filer une fois qu'on y est. Deux semaines bretonnes à nous goinfrer de galettes, de gaufres, de pizzas, et à digérer tout ça à coups de vodka orangina et de verres au Bock. Deux semaines à se faire inonder de tous les côtés, à ramener "la plage de la mer" avec nous toutes les nuits, à se demander si la tente ne va pas finir par nous tomber dessus, à se faire tremper dès qu'on met le nez dehors pour manger un bout, à se peler les miches pendant les apéros, à se trémousser sur des musiques plus ou moins festives. Deux semaines de rencontres, de jeux de cartes, de tobbogan, de perdition de brie, d'accusation de Jocelin le p'tit voisin, de volley, de taquinage, de pâtes avec Fifou le vieux fantasme, de fuite d'Ewan (on mord pas bonhomme!), de découverte des douches chaudes, de goinfrage dans des restaus, de feux de camp sur la plage, de Ruppert et Yoyo qui pétaradent, de gens un peu partout. Deux semaines d'Elles trois.

Serrés à six dans une petite voiture
J'échangerai pas ma place
Même si on va dans l'mur.



On s'imagine pas comme on regardera le coffre de Ruppert avec nostalgie en rentrant, en se disant que quand même Claire a réussi à rentrer dedans, et puis David le boulito aussi. On s'imagine pas comme les apéros sur la plage de Damgan vont laisser place à un léger vide, même si pendant deux semaines on a joué nos filles un peu blasées d'leurs vacances, un peu pressées de retrouver leur confort Rouennais. On s'imagine pas ramener autant de souvenirs avec soi, qu'ils soient bons ou moins bons, peu importe, ils sont là, les souvenirs. .............................. <3

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