Restau pour les 19 ans de Marinou, Chouille, Apéro sur les quais, Boulet, Pique nique en 'mureuses à trois, Festoch' de la Brouette, Recherche de stup', Chouille, Célibataire à la barbiche, Vieux d'la vieille avec leurs pâtes bolo, Panne de Ruppert, Repas d'famille, Soirée télé avec la Solou, Concours des Beaux Arts de Rouen, Week end au Havre mode avant-goût de vacances et mode traitées comme des reines, Chouille, Tobboggan, Admission aux Beaux Arts de Rouen, Concert au Saxo, demain Caen, Aline, Tholès, Chouille, Rouen, Chouilles, et maintenant, Gros dodo.
Samedi 17 mai 2008 à 18:03
Dimanche 11 mai 2008 à 20:29
Je n'sais plus, je constate.
Que ma vie sentimentale est un désastre. Que j'ai une vie de débauche. Que mes
sautes d'humeur me bouffent l'existence. Que la vie est belle. Que les rencontres c'est c'qu'il y a
de plus beau, avec leurs sourires. Que je crois que je vis, vraiment.
Lundi 5 mai 2008 à 12:04
Il fait beau, voire trop, et moi j'ai un sourire indescotchable. Parc'que, je sais pas, j'ai des impressions de grandes vacances, mon esprit il vagabonde dans mon futur proche et il se dit "waouh les semaines de z'ouf à venir !", et puis, je sais pas, le soleil ça m'a l'air d'être un bon stimulant de bougeage, encore mieux que Dayos, c'est dire ! J'ai tout plein de trucs de prévu, que des trucs qui me foutent encore plus la banane si tant est qu'ce soit possible, de festivals en chouilles, de chouilles en beaux arts, de beaux arts en squatt un peu partout. Alors voilà, mercredi go to Rouen, le Havre, Caen, Amiens, sous le soleil, chez plein d'gens, avec une accolyte de gue-din (voire deux), dans les bras d'Ruppert, c'est la chouille ! Tsouin tsouin du boudin les jeunes, moi je vis !
Samedi 3 mai 2008 à 15:49
C'est marrant, quand j'appuie sur les touches
de mon portable y'a du mousseux qui en sort.
Lundi 28 avril 2008 à 13:51
Parfois j'me dis que moi aussi j'aimerais être inconsciente. Que moi aussi
j'aimerais partir à l'aventure avec rien dans les poches et aucun but précis.
J'aimerais abandonner tout c'que j'ai ici pour partir vers nul part. Vers ailleurs.
Parfois j'aimerais n'avoir aucune attache. J'aimerais n'avoir rien à prouver,
personne à épater, aucun avenir à tracer. Du moins pas un avenir comme celui
que j'vois pourtant à chaque fois que j'pense à "plus tard". Parfois j'voudrais tout
lâcher juste parc'que j'ai du cran ou juste parc'que j'suis un peu conne. Et parfois,
et souvent, j'me dis qu'il faut être lucide. Que ma vie ne sera jamais un grand
voyage perpétuel sans aucune contrainte extérieure. Et ça m'fout les boules.